Bonsoir Madame Ponsaille. Je viens d'apprendre avec une immense tristesse le départ de mon collègue et ami avec qui j'ai partagé une partie de ma carrière. Nous étions complice et il me transportait de Neuilly sur seine à la défense quand ma voiture était en panne. Il me disais toujours viens à fon romeu quelques jours avec ton époux Frederic. C'est pour moi un grand choc. Il n'aura pas beaucoup profité de sa retraite. Moi aussi je suis désormais à Nice et ai subit 8 heures d'opération cardiaque, mais voilà la vie réservé des mauvaises surprises. Sincères condoléances pour et je prierais pour son âme ce soir. ALAIN THINNES.